A boi-re je pa-as-se-e
ma-a vi-e
Toujours dispo,
tou-ou-jou-ours con-on-tent
La bouteille
est ma-a bo-onne a-a-mi-e
Et je-e suis-is un-un
a-a-mant-ant con-ons-tant
Au cabaret j'a-at-tend
l'au-au-ro-o-o-o-re
Du vin tel est
l'heu-eu-reux-eux e-ef-fet
La nui-it sou-ou-vent-ent
me-e trou-ouve en-en-co-o-re
Ma trouve encore
au-au ca-a-ba-a-ret-et
La nui-it sou-ou-vent-ent
me-e trou-ouve en-en-co-o-re
Ma trouve encore
au cabaret
A boire je passe
ma vie
Toujours dispo,
toujours content
La bouteille
est ma bonne amie
Et je suis un
amant constant
Au cabaret j'attend
l'aurore
Du vin tel est
l'heureux effet
La nuit souvent
me trouve encore
Ma trouve encore
au cabaret
La nuit souvent
me trouve encore
Ma trouve encore
au cabaret
Si frappé
de quelques alarmes
Mon coeur éprouve
du chagrin
Soudain on voit
couler mes larmes
mais ce sont
des larmes de vin
Je bois, je bois
à longue haleine
Du vin tel est
l'heureux effet
Le malheureux
n'a plus de peine
N'a plus de peine
au cabaret.
Si j'étais
maître de la terre,
Tout homme serait
vigneron
Au dieu d'amour
toujours sincère
Bacchus serait
mon Cupidon.
Je ne quitterais
plus ma mère
Car de la cour
un juste arrêt
Ferait du temple
de Cythère
Oui de Cythère
un cabaret!
Auteurs qui courez
vers la gloire
Bien boire est
le premier talent
Bacchus au temple
de mémoire
Obtient toujours
le premier rang
Un tonneau, voilà
mon Pégase
Ma lyre un large
robinet
Et je trouve
le Mont Parnasse
Le Mont Parnasse
au cabaret.